Il y a déjà près de neuf ans que The Elder Scrolls V: Skyrim est sorti, mais ses personnages mémorables continuent de fasciner les fans. Alors, qu’est-ce qui les rend si attachants ? Retour sur ces personnages inoubliables de Skyrim.
Tout d’abord, il y a Aela la chasseresse, une épéiste redoutable de la guilde des compagnons. Elle est forte, indépendante et déterminée. Mais ce qui rend Aela si attachante, c’est son histoire personnelle : elle a perdu sa famille dans une meute de loups et ne s’est jamais remise de cette tragédie. Son désir de devenir la meilleure chasseresse de Skyrim est une tentative de compenser cette perte, et les joueurs ne peuvent s’empêcher de la soutenir dans cette quête.
Ensuite, il y a Cicero, le bouffon de la Confrérie Noire. Cicero est un personnage complètement fou et hilarant, mais il est également profondément émouvant dans sa propre façon. Il a été trahi et rejeté par la Confrérie Noire qu’il adore et a été contraint de vivre comme un ermite. Les joueurs ne peuvent s’empêcher de comprendre sa douleur et d’être touchés par sa foi inébranlable en la Confrérie Noire.
Farkas, lui aussi, appartient à la guilde des compagnons. C’est un guerrier courageux et loyal. Mais ce qui rend Farkas si attachant, c’est sa personnalité simple et honnête. Il est toujours prêt à aider les autres et à donner de son temps et de son énergie. Les joueurs aiment sa gentillesse et son intégrité.
Enfin, il y a Serana, une vampire sarcastique et passionnante. Les joueurs sont d’abord attirés par son apparence basique, mais elle est plus qu’une vampire terrifiante en fin de compte. Serana est le premier personnage dans l’histoire de la franchise à être doté d’une personnalité riche et complexe.
En conclusion, ces personnages mémorables de Skyrim sont tous réunis par l’empathie et la profondeur de leur histoire personnelle. Les joueurs s’attachent à eux pour leur courage, leur loyauté, leur honnêteté et leur vulnérabilité. Ces personnages restent dans l’esprit des joueurs même une décennie après la sortie du jeu.
